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Newsletter #2 de la Librairie vers les J 52

L’équipe de la librairie en ligne des 52e Journées de l’École de la Cause freudienne :

« Je suis ce que je dis.

Dénis contemporains de l’inconscient »

a le plaisir de vous présenter, dans cette deuxième newsletter, nos revues et bulletins.

Découvrez le dernier numéro de La Cause du désir, la revue de l’ECF, qui, tout en finesse, aborde le thème de la femme qui n’existe pas.  Vous retrouverez également le dernier numéro d’Horizon, consacré aux “Formes contemporaines de la pudeur”, une véritable perle. Le numéro hors-série d’Accès et le dernier numéro de Rivages, intitulés “Unique en son genre” et “Subjectivités dans l’époque”, plongent eux-aussi au cœur du thème de nos Journées.

 

La Cause du désir n° 112

Revue de l’École de la Cause Freudienne

LA femme n’existe pas

Ce numéro 112 de La Cause du désir comporte deux grandes parties : la première est consacrée à la création et à l’actualité de l’Association mondiale de psychanalyse créée par Jacques-Alain Miller il y a trois décennies. Nous publions aussi l’argument du prochain Congrès de l’AMP 2024 “Tout le monde est fou” par J.-A. Miller ainsi que les quatre rapports, très attendus, de la Grande Conversation de l’École Une.
La seconde partie de ce numéro est composée d’un dossier central. Il s’agit d’une sélection d’études théoriques et cliniques sur le thème de “LA femme n’existe pas” issues des Grandes Assises virtuelles internationales qui se sont tenues au printemps 2022.
Il y a aussi un débat inédit, avec des commentaires extrêmement précis de Jacques-Alain Miller, sur la question du traitement des voix en psychanalyse.
Ce numéro comprend par ailleurs un interview de Stéphane Wahnich, auteur de Marine Le Pen prise aux mots, réalisé par Lacan Web Télévision à la veille du second tour des dernières élections présidentielles.
Enfin, le témoignage sensible d’après lequel, en temps de guerre, un analyste en formation peut choisir de s’inscrire dans une communauté de travail qui transcende les frontières nationales en ne cédant pas sur le désir d’interpréter l’inconscient. 

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Horizon n° 67

Bulletin de l’Envers de Paris

Formes contemporaines de la pudeur

Les bornes de la pudeur sont-elles aujourd’hui dépassées ? Effacées ? Révolues ? Notre monde serait-il absorbé dans le déchainement d’un tout-voir, tout-montrer, tout-dire menant à une expérience de la honte « comme une amboception ou une pseudo coïncidence du sujet et de l’Autre [1]». On s’inquiète de la façon dont enfle sur les réseaux sociaux la traque de l’intime et du secret, de leur coloration exhibitionniste et pornographique sur la Toile. Mais est-ce si sûr ? 
Chacun des textes que vous lirez dans ce numéro d’Horizon souligne combien, aujourd’hui aussi, la pudeur éclaire comme le dit Lacan, « une dimension qui n’est propre qu’au sujet comme tel [2]» à laquelle il s’agit de tendre l’oreille.
Trois invités nous apportent leur éclairage : Christine Angot sur l’exigence de s’extraire des phrases toutes faites ; l’historien de l’art Bruno Nassim Aboudrar sur la place du voile entre civilisations occidentales et orientales, le chroniqueur Xavier de La Porte sur les lieux de l’impudeur sur la Toile. Enfin nous avons la chance de publier ici la conversation entre Éric Laurent et Nurith Aviv autour de son dernier film Des mots qui restent.
La pudeur, dont Lacan fait la seule vertu, « gouverne le bien-dire propre au discours analytique » écrit Lilia Majhoub dans l’axe clinique préparatoire aux J 52. Le thème de ce numéro d’Horizon résonne avec la préparation de ces Journées. L’intervalle discret entre le je suis et le ce que je dis rendant sensible au fil de ces pages le lien précieux entre pudeur et bien-dire.

[1] Miller J.-A., « Note sur la honte », La Cause freudienne, n° 54, juin 2003, p. 5.
[2] Lacan J., Le Séminaire, livre XVI, D’un Autre à l’autre, texte établi par J.-A. Miller, Paris, Seuil, 2006, p. 315.

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Accès Hors série

Bulletin de l’ACF en Val de Loire-Bretagne

Unique en son genre.
L’affaire sexuelle, entre science et inconscient 

En quoi sommes-nous tous unique ? Qu’est-ce qui nous distingue les uns des autres ? L’unicité de chacun est-elle compatible avec le lien social ? Dans un monde uniformisé et anonyme où règne l’individualisme, certains veulent aujourd’hui se différencier des autres, à travers de nouveaux signifiants supposés plus distinctifs : intersectionnel, woke, racisé, masculiniste, agenré, asexuel, etc.
Cet hors-série d’Accès à la psychanalyse est le produit du colloque organisé le 2 octobre 2021 par l’ACF en VLB et UFORCA. Il apporte des réponses et ouvre à des interrogations cliniques, épistémiques et politiques sur ces sujets de société. Les conversations avec les écrivaines Emma Becker et Rachel Khan nous enseignent sur les questions complexes de la sexualité, de la féminité et sur le débat très contemporain du communautarisme versus ségrégation. Annie Cohen-Solal, universitaire, met en lumière le dossier Picasso, l’un des plus grands peintres de tous les temps et pourtant étranger dans son pays d’accueil.
Ce forum a permis à des psychanalystes, à des cliniciens de démontrer à la fois que le sexe est un dire, comme l’indique Lacan et que l’être parlant est soumis au registre de la parole et de l’inconscient ainsi qu’à la contingence des modes de jouissance. Cette perspective rompt avec l’idéal scientiste des neurosciences, celui d’une harmonie du sujet avec son corps. Ce bulletin donne l’occasion d’un éclairage sur la manière dont la psychanalyse conçoit l’articulation entre l’individuel et le collectif, entre l’unique et le multiple, entre l’Un et l’Autre.

Damien Botté & Christelle Sandras, rédacteurs

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Rivages n° 29

Bulletin de l’ACF en Estérel-Côte d’Azur

Subjectivités dans l’époque

 

Les textes de ce numéro de Rivages explorent diverses questions essaimant ainsi la subjectivité de l’époque. D’emblée, la conférence de Marie-Hélène Brousse prononcée dans le cadre du colloque de l’ACF en ECA « Addictions généralisées », met l’accent sur les mutations civilisationnelles et donne la couleur de notre époque en formulant qu’aujourd’hui « l’ordinaire c’est la psychose ». La question féminine, explorée dans un entrecroisement de textes, a tracé la ligne d’orientation des travaux du Séminaire interne de l’ACF en ECA, dans la perspective des Grandes Assises Virtuelles Internationales de l’AMP sur le thème « La femme n’existe pas ». Enfin, vous verrez combien les textes de conférence d’Hélène Bonnaud, Éric Zuliani, Véronique Voruz et Philippe De Georges gardent le cap de l’indication de Lacan, celle de « rejoindre à son horizon la subjectivité de son époque » !

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Et bientôt disponible…

Mental n° 46

Revue internationale de psychanalyse

Écologie lacanienne

 

Alors que la somme des savoirs s’accumule, que les preuves, les chiffres convergent pour dire l’urgence d’agir face à la nouvelle donne climatique et ses conséquences délétères, rien ne semble suffire à penser une action collective : Déni ? Cynisme ? Impossibilité de penser la disparition de l’espèce humaine, en une transposition à l’échelle collective de ce que Freud disait de l’impossibilité de penser sa propre mort ?

Comme analystes, nous sommes regardés à plus d’un titre par ce « point où nous en sommes » pour reprendre les mots de Lacan qui n’a pas manqué, tout au long de son enseignement, d’offrir des clefs pour ne pas reculer devant le réel de ce qui vient comme suite logique de l’alliance de la science et du capitalisme, de « la montée au zénith social de l’objet a » et de son envers : l’accumulation des déchets qui sont le signe tangible de toute civilisation, la pollution, l’angoisse du scientifique.

Ce nouveau numéro de Mental s’attachera donc à mettre à jour ces moments-phares de l’enseignement de Lacan pour en extraire un savoir qui fasse boussole : plusieurs textes s’emploient à déplier un tel aggiornamento, d’autres constituent une clinique des nouveaux discours, des extrêmes-droites nationalistes qui détournent la question pour l’instrumentaliser aux nouveaux récits qui tentent d’ouvrir un savoir y faire affine à l’éthique lacanienne. Deux immenses intellectuels nous frayent également la voie : Bruno Latour qui offre ici les conclusions ouvertes d’une vie passée à saisir la façon de penser ce « nouveau régime climatique », et Éloi Laurent qui déconstruit et la croyance en l’économie comme science et l’idéologie de la croissance.

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